privatisation biens communs
Si si, c'est sérieux. Le GIEC1) rendu célèbre par ses études sur le réchauffement climatique a été officiellement mandaté par les nations pour étudier comment refroidir la planète. Mais le pire c'est quand ils ont des idées.
Leur proposition : disperser des particules réfléchissantes dans la stratosphère pour produire une sorte « d'écran total ». Ne riez pas ! Ces gens n'ont pas conscience d'avoir le sens de l'humour. C'est techniquement possible.
Allons jusqu'au bout de ce scénario de film d'anticipation. Quelles en seraient les conséquences ?
A coup sûr, nous trouverons des solutions à ce « léger » inconvénient. Des entreprises privées mettront en orbite des capteurs d'énergie pour nous la revendre à prix d'or. Ensuite de formidables usines synthétiseront de la lumière, de l'eau et du vent pour la survie des plus riches. Bientôt, il faudra payer pour les éléments vitaux, nos biens communs : la terre, l'eau, le soleil et le vent.
Nous aurons bientôt des péages sur nos routes, à nos robinets, à nos réverbères remplaçant le soleil, et pourquoi pas sur nos masques à gaz pour respirer.
Dans cette quête à dominer la nature, après les OMG et les centrales nucléaires en fusion, les apprentis sorciers cherchent à contrôler les climats. Mais nous ne sommes pas dans un film de science fiction et aucun cinquième élément ne viendra combattre l'empire financier de « Zorg ».
On ne peut qu'émettre des hypothèses sur la disparition des dinosaures. Par chance nous connaissons déjà le responsable de la mort de l'humanité : le profit.
François