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L’avenir des retraites dépend toujours de nous.
Vous serrez des dizaines de milliers à Vannes et à Lorient.
Du fait de l'importance de cette manifestation :
- pensez à venir en avance
- pensez au co-voiturage.
Tous les chiffres de la mobilisation sont sur les pages de L'action continue
Date
Le jeudi 23 septembre 2010 à 10h (10h30 pour Belle-Ile en mer)
Lieu
Cliquez sur les cartes pour voir les rues.
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| La Rabine 56000 Vannes | Espace Cosmao 82, bd Cosmao Dumanoir 56100 Lorient | La Plaine 56300 Pontivy | Le Palais 56360 Belle-Ile en Mer |
Sujet
L’avenir des retraites dépend toujours de nous.
Le projet du gouvernement n’est pas acceptable.
Les salariés n’ont pas à payer la facture.
Imposons un autre financement des retraites.
Virons le projet Parisot/Sarkozy/Woerth voté par les députés UMP ! ! !
Salariés, nous nous sommes mobilisés de façon exceptionnelle les 7 et 15 septembre pour sauver les retraites, exiger l’abandon du projet gouvernemental.
Sans argument, le gouvernement tente le passage en force. Aujourd’hui, rien n’est joué. Le 23 septembre, l’avenir de nos retraites sera entre nos mains et nous serons dans la rue.
La politique de Sarkozy, c’est :
- aider les spéculateurs (argent public aux banques) ;
- favoriser les plus riches (bouclier fiscal, 210 millions d’euros à Tapie) ;
- creuser les déficits pour imposer les régressions.
Les conséquences :
- un chômage record qui diminue les rentrées fiscales et les cotisations ;
- un déficit public qui permet d’imposer à la population une politique d’austérité ;
- des menaces sur les financements sociaux : sécu, retraites, chômage…
Un autre financement passe par :
- augmenter la part patronale des cotisations sociales inchangée depuis…1991.
- favoriser une véritable politique de l’emploi en lieu et place des exonérations qui ne profitent qu ‘au patronat (abaissement TVA restauration, loi TEPA)
- taxer les profits encaissés par les actionnaires (72 milliards d’euros).
- remettre en cause immédiatement le bouclier fiscal.
- répartir autrement le financement de la réforme payée à 85 % par les salariés.
- Prendre en compte les années d’études et d’inactivités forcées.
Travailler deux ans de plus, c’est augmenter le nombre de chômeurs. Si les parents travaillent deux ans de plus, les jeunes chômeront deux ans de plus. L’avenir des retraites, c’est aussi l’accès pour tous les jeunes à un emploi stable.
Le jeudi 23 septembre, Encore plus nombreux que le 7 septembre. Tous en grève et en manifestations